Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Mais Pourquoi Je Deviens Mère Bordel ??!

Demain et vendredi, en tant que l’un des 35 membres du conseil consultatif du G7 venus de tous horizons réunis autour de @marleneschiappa, j’aurai le grand honneur et l’immense responsabilité de poursuivre les travaux engagés ensemble, il y a plusieurs mois déjà, afin de présenter un bouquet législatif en faveur des femmes auquel pourront souscrire non seulement les pays du G7,  mais aussi les pays du monde entier.
On pourra dire ce qu’on veut, qu’il reste un chemin infini à parcourir, que ce n’est pas encore assez, que ça ne va pas assez vite, qu’il y a d’autres causes qui méritent nos combats ardents, et tout sera vrai : un tel événement n’aurait pourtant pas pu avoir lieu il y a encore quelques années, peut-être même quelques mois.
J’y vois un pas de géant.e.
Et quelle émotion de côtoyer tou.te.s ces hommes et ces femmes, passionnant.e.s, engagé.e.s, déterminé.e.s, qui se battent durement tous les jours pour la même cause, chacun.e à leur façon, tou.te.s avec ferveur.
J’espère que ma contribution sera à la hauteur de cet enjeu essentiel pour l’humanité, je m’engage en tout cas ici à donner le meilleur de moi-même pour tendre vers ce but.
Stay tuned !
.
.
.
.
.
#G7 #G7Equality #G7GenderEquality #WomensRights #Feminism #Féminisme #G7France #Biarritz2019 #G72019 #G7ÉgalitéHommesFemmes @Paris, France

Demain et vendredi, en tant que l’un des 35 membres du conseil consultatif du G7 venus de tous horizons réunis autour de @marleneschiappa, j’aurai le grand honneur et l’immense responsabilité de poursuivre les travaux engagés ensemble, il y a plusieurs mois déjà, afin de présenter un bouquet législatif en faveur des femmes auquel pourront souscrire non seulement les pays du G7, mais aussi les pays du monde entier. On pourra dire ce qu’on veut, qu’il reste un chemin infini à parcourir, que ce n’est pas encore assez, que ça ne va pas assez vite, qu’il y a d’autres causes qui méritent nos combats ardents, et tout sera vrai : un tel événement n’aurait pourtant pas pu avoir lieu il y a encore quelques années, peut-être même quelques mois. J’y vois un pas de géant.e. Et quelle émotion de côtoyer tou.te.s ces hommes et ces femmes, passionnant.e.s, engagé.e.s, déterminé.e.s, qui se battent durement tous les jours pour la même cause, chacun.e à leur façon, tou.te.s avec ferveur. J’espère que ma contribution sera à la hauteur de cet enjeu essentiel pour l’humanité, je m’engage en tout cas ici à donner le meilleur de moi-même pour tendre vers ce but. Stay tuned ! . . . . . #G7 #G7Equality #G7GenderEquality #WomensRights #Feminism #Féminisme #G7France #Biarritz2019 #G72019 #G7ÉgalitéHommesFemmes @Paris, France

8 Mai 2019

https://www.instagram.com/p/BxNjWTjFJXs/

Tu veux savoir pourquoi j’aime le lundi ?
Oui, j’aime le lundi, et pas seulement parce que je peux ENFIN être seule après 48h de totale non solitude, de privation de sommeil, de tympans lacérés et de fantasmes d’infanticide.
J’aime le lundi parce que le lundi, j’accompagne ma fille chez l’orthopédagogue.
C’est pas que je me réjouisse que ma fille ait des difficultés scolaires hein, va pas te méprendre, c’est juste que dans la salle d’attente, y a un FAUTEUIL MASSANT.
Et en 1h, je me fais 3 tours de rolling + kneading + vibrator - c’est pour le bas des JAMBES bande d’obsédé.e.s les vibrations - en bouffant des canelés.
Voilà pourquoi j’aime les lundis : parce que l’orthopédagogue de ma fille, en plus de comprendre les gosses, elle sait que les mères méritent d’être traitées comme des reines, des déesses, des idoles, ET PUIS C’EST TOUT, surtout quand elles gèrent les difficultés scolaires de leur progéniture. 
Oui, je dis les mères, parce qu’en 6 mois ici j’ai jamais croisé un père.
Mais c’est sûrement une coïncidence, hein, détendez-vous les masculinistes, s’il y avait des inégalités entre les hommes et les femmes ça se saurait.
Et toi, tu le kiffes ton lundi ?
.
.
.
.
.
#Bordeaux #BordeauxMaVille #NewLife #SlowLife #QuitterParis #VieDeMum #VieDeMère #VDM #EnfinPasTousLesJoursQuandMême
Et #Boobsthérapie bien sûr, merci les #Canelés de contribuer à la générosité de mon décolleté (et du reste). @Bordeaux, France

Tu veux savoir pourquoi j’aime le lundi ? Oui, j’aime le lundi, et pas seulement parce que je peux ENFIN être seule après 48h de totale non solitude, de privation de sommeil, de tympans lacérés et de fantasmes d’infanticide. J’aime le lundi parce que le lundi, j’accompagne ma fille chez l’orthopédagogue. C’est pas que je me réjouisse que ma fille ait des difficultés scolaires hein, va pas te méprendre, c’est juste que dans la salle d’attente, y a un FAUTEUIL MASSANT. Et en 1h, je me fais 3 tours de rolling + kneading + vibrator - c’est pour le bas des JAMBES bande d’obsédé.e.s les vibrations - en bouffant des canelés. Voilà pourquoi j’aime les lundis : parce que l’orthopédagogue de ma fille, en plus de comprendre les gosses, elle sait que les mères méritent d’être traitées comme des reines, des déesses, des idoles, ET PUIS C’EST TOUT, surtout quand elles gèrent les difficultés scolaires de leur progéniture. Oui, je dis les mères, parce qu’en 6 mois ici j’ai jamais croisé un père. Mais c’est sûrement une coïncidence, hein, détendez-vous les masculinistes, s’il y avait des inégalités entre les hommes et les femmes ça se saurait. Et toi, tu le kiffes ton lundi ? . . . . . #Bordeaux #BordeauxMaVille #NewLife #SlowLife #QuitterParis #VieDeMum #VieDeMère #VDM #EnfinPasTousLesJoursQuandMême Et #Boobsthérapie bien sûr, merci les #Canelés de contribuer à la générosité de mon décolleté (et du reste). @Bordeaux, France

6 Mai 2019

https://www.instagram.com/p/BxIDBZQFvmp/

Étape absolument décisive dans tout processus d’intégration qui se respecte : 
Élire un QG.
Après 9 mois d’expérimentation pas franchement pénible de cafés, bars & terrasses ensoleillées, je déclare officiellement Chez Fred mon QG bordelais number one. 
Simple, mignon, sans chichis, où tout le bar rit de bon cœur dès 9h du mat LE LUNDI MATIN même sans alcool à la moindre blagounette (de bon goût, on n’est pas non plus au PMU bordel).
Pour l’instant, l’équipe ignore que j’ai jeté mon dévolu sur le lieu et me croit encore discrète, j’attends un peu pour faire mon coming-out de personnalité envahissante, un peu comme on planque ses défauts à la con au début d’un couple, histoire qu’on s’attache à nous avant de voir nos ombres et qu’il soit trop tard pour nous jeter dehors.
.
.
.
.
.
#Bordeaux #BordeauxMaVille #QG #ChezFred #NewLife #SlowLife #QuitterParis #ExperteEnIntégration #EtEnDésintégrationAussiMaisÇaCestUnAutreSujet 
Et un peu experte en #boobsthérapie aussi. @Bar Chez Fred

Étape absolument décisive dans tout processus d’intégration qui se respecte : Élire un QG. Après 9 mois d’expérimentation pas franchement pénible de cafés, bars & terrasses ensoleillées, je déclare officiellement Chez Fred mon QG bordelais number one. Simple, mignon, sans chichis, où tout le bar rit de bon cœur dès 9h du mat LE LUNDI MATIN même sans alcool à la moindre blagounette (de bon goût, on n’est pas non plus au PMU bordel). Pour l’instant, l’équipe ignore que j’ai jeté mon dévolu sur le lieu et me croit encore discrète, j’attends un peu pour faire mon coming-out de personnalité envahissante, un peu comme on planque ses défauts à la con au début d’un couple, histoire qu’on s’attache à nous avant de voir nos ombres et qu’il soit trop tard pour nous jeter dehors. . . . . . #Bordeaux #BordeauxMaVille #QG #ChezFred #NewLife #SlowLife #QuitterParis #ExperteEnIntégration #EtEnDésintégrationAussiMaisÇaCestUnAutreSujet Et un peu experte en #boobsthérapie aussi. @Bar Chez Fred

29 Avril 2019

https://www.instagram.com/p/Bw1ga27lILN/

Parmi les multiples cadeaux que nous laissent nos très proches en quittant ce monde, il y a la prise de conscience viscérale et définitive de l’impermanence des choses.
Celles qu’on voit venir : le jour qui décline, la fin de la bière qui se profile avec la légèreté croissante de la bouteille au creux de notre main, ce bébé qui se transforme en enfant, demain en ado, puis en adulte.
Et puis il y a les autres : cet autre bébé qui s’invite au creux de nos entrailles, cadeau inespéré, pour s’éteindre quelques semaines plus tard, laissant une trace dans le cœur et le corps, un petit deuil et une anesthésie générale plus tard, un ventre rond & vide qui ne rentre plus nulle part.
Ce nouvel amour-eux qu’on croyait pour un tout petit moins que toujours qui s’envole comme il est venu.
Ces chagrins-là, hier terribles, si déchirants qu’on aurait juré en crever, on ne les pleure plus de la même façon.
Parce qu’on sait.
On n’a plus peur de la nuit qui tombe, des bébés qui s’arrêtent de pousser à peine germés, des amours qui s’étiolent comme un pistil de pissenlit sur lequel on souffle à peine.
On n’a plus peur des larmes, de juste les laisser couler, quand on sait qu’elles vont bientôt se tarir, que le puits n’est pas sans fond, que tout bouge, tout change, tout tourne, et qu’on est prêt.e à accompagner le mouvement, quel qu’il soit.
Quand on sait que les cœurs brisés se recousent avec des fils d’or, et peut-être ils baillent un peu aux entournures, et peut-être il y a des cicatrices un peu boursouflées, un peu cabossées, un peu dégueulasses, mais finalement c’est peut-être ça, qu’on appelle avoir un cœur d’or, c’est peut-être ces gens-là qui savent que tout s’envole même sans ailes.
Quand nos morts d’amour nous ont laissé ces cadeaux pour la vie, la vérité de l’impermanence de toute chose, et la foi que l’Univers a quelque chose de puissant à nous apprendre de nous à chaque fois qu’il nous challenge, alors il n’y a plus qu’à laisser les larmes couler doucement et à garder les yeux grands ouverts, pour pouvoir lire le message qu’il nous envoie quand il sera temps de le voir.
Il n’y a plus qu’à dire au revoir aux envolés, avec une gratitude infinie et tellement d’amour.
✨

Parmi les multiples cadeaux que nous laissent nos très proches en quittant ce monde, il y a la prise de conscience viscérale et définitive de l’impermanence des choses. Celles qu’on voit venir : le jour qui décline, la fin de la bière qui se profile avec la légèreté croissante de la bouteille au creux de notre main, ce bébé qui se transforme en enfant, demain en ado, puis en adulte. Et puis il y a les autres : cet autre bébé qui s’invite au creux de nos entrailles, cadeau inespéré, pour s’éteindre quelques semaines plus tard, laissant une trace dans le cœur et le corps, un petit deuil et une anesthésie générale plus tard, un ventre rond & vide qui ne rentre plus nulle part. Ce nouvel amour-eux qu’on croyait pour un tout petit moins que toujours qui s’envole comme il est venu. Ces chagrins-là, hier terribles, si déchirants qu’on aurait juré en crever, on ne les pleure plus de la même façon. Parce qu’on sait. On n’a plus peur de la nuit qui tombe, des bébés qui s’arrêtent de pousser à peine germés, des amours qui s’étiolent comme un pistil de pissenlit sur lequel on souffle à peine. On n’a plus peur des larmes, de juste les laisser couler, quand on sait qu’elles vont bientôt se tarir, que le puits n’est pas sans fond, que tout bouge, tout change, tout tourne, et qu’on est prêt.e à accompagner le mouvement, quel qu’il soit. Quand on sait que les cœurs brisés se recousent avec des fils d’or, et peut-être ils baillent un peu aux entournures, et peut-être il y a des cicatrices un peu boursouflées, un peu cabossées, un peu dégueulasses, mais finalement c’est peut-être ça, qu’on appelle avoir un cœur d’or, c’est peut-être ces gens-là qui savent que tout s’envole même sans ailes. Quand nos morts d’amour nous ont laissé ces cadeaux pour la vie, la vérité de l’impermanence de toute chose, et la foi que l’Univers a quelque chose de puissant à nous apprendre de nous à chaque fois qu’il nous challenge, alors il n’y a plus qu’à laisser les larmes couler doucement et à garder les yeux grands ouverts, pour pouvoir lire le message qu’il nous envoie quand il sera temps de le voir. Il n’y a plus qu’à dire au revoir aux envolés, avec une gratitude infinie et tellement d’amour. ✨

19 Avril 2019

https://www.instagram.com/p/BwcQTP6lmRS/

Il y a un temps pour plonger à corps perdu dans les remous des réseaux sociaux, et un pour s’en tenir loin.
Pour moi c’est le moment d’un recentrage, d’une forme de retraite, d’un certain silence.
D’être à l’intérieur.
C’est le moment de diriger mes forces et ma concentration vers autre chose que ce brouhaha incessant, chronophage, énergivore, et parfois vain.
Je ne cesse pas d’exister parce que vous ne me verrez plus virtuellement pendant une durée indéterminée : bien au contraire.
Prenez soin de vous et du monde, les deux en ont infiniment besoin, et à - beaucoup ? - plus tard !

Il y a un temps pour plonger à corps perdu dans les remous des réseaux sociaux, et un pour s’en tenir loin. Pour moi c’est le moment d’un recentrage, d’une forme de retraite, d’un certain silence. D’être à l’intérieur. C’est le moment de diriger mes forces et ma concentration vers autre chose que ce brouhaha incessant, chronophage, énergivore, et parfois vain. Je ne cesse pas d’exister parce que vous ne me verrez plus virtuellement pendant une durée indéterminée : bien au contraire. Prenez soin de vous et du monde, les deux en ont infiniment besoin, et à - beaucoup ? - plus tard !

19 Mars 2019

https://www.instagram.com/p/BvMDDNQlxSZ/

Jeudi, je crois bien que j’ai participé à un moment historique.
Un moment où les mères isolées ont pu s’exprimer devant des ministres, notamment @marleneschiappa à l’initiative de cet événement, des députés, des institutionnels, des journalistes, et évoquer la vérité toute nue, la vérité toute crue d’un quotidien déchirant.
Un #MeTooDesMères, un #EtLaPensionBordel.
Vous retrouverez l’intégralité de nos interventions sur le lien dans ma bio.
Celles de ces mères, toutes différentes et pourtant unies devant les mêmes problématiques, et celles de Valentine et Héloïse, ces deux adolescentes qui ont apporté de rares témoignages bouleversant d’enfants du divorce qui grandissent loin d’un parent qui choisi délibérément l’absence, quand tant d’autres donneraient tout pour voir grandir leurs enfants.
Le fin de la conférence est dans une seconde vidéo sur la même page FB que mon lien.
Il y a beaucoup de vous dans mes mots, beaucoup de ces histoires que vous m’avez fait l’honneur de me confier.
J’espère que vous les reconnaîtrez et que cela vous apportera un peu de l’immense soulagement que j’ai ressenti jeudi : celui de se libérer d’une partie de ce poids insoutenable en le partageant au reste du monde.
Merci encore infiniment de votre confiance et de vos encouragements.
Je publierai bientôt l’intégralité du texte de l’intervention, que j’ai dû un peu écourter à l’oral pour laisser à mes camarades un temps de parole égal pour toutes.
Je tiens à préciser, après avoir lu des commentaires affligeants d’ignorance sur les réseaux sociaux, que non seulement nous avons chacune pu dire ce que nous voulions sans que nos textes ne nous soient demandés à l’avance, mais qu’en prime nous avons été encouragées à être très, très sincères.
J’en profite pour dire qu’il me semble que la meilleure façon de contester, quand on n’est pas d’accord, c’est de créer des actions positives en faveur de ce qu’on veut voir naître, et que la meilleure façon d’œuvrer pour la paix, le vivre ensemble et l’égalité hommes-femmes, c’est de commencer par respecter tous les individus, d’où qu’ils viennent, quel que soit leur sexe, leur statut social, le montant de leur compte en banque ou leur fonction.
Non ? @Saint-Denis, Ile-De-France, France

Jeudi, je crois bien que j’ai participé à un moment historique. Un moment où les mères isolées ont pu s’exprimer devant des ministres, notamment @marleneschiappa à l’initiative de cet événement, des députés, des institutionnels, des journalistes, et évoquer la vérité toute nue, la vérité toute crue d’un quotidien déchirant. Un #MeTooDesMères, un #EtLaPensionBordel. Vous retrouverez l’intégralité de nos interventions sur le lien dans ma bio. Celles de ces mères, toutes différentes et pourtant unies devant les mêmes problématiques, et celles de Valentine et Héloïse, ces deux adolescentes qui ont apporté de rares témoignages bouleversant d’enfants du divorce qui grandissent loin d’un parent qui choisi délibérément l’absence, quand tant d’autres donneraient tout pour voir grandir leurs enfants. Le fin de la conférence est dans une seconde vidéo sur la même page FB que mon lien. Il y a beaucoup de vous dans mes mots, beaucoup de ces histoires que vous m’avez fait l’honneur de me confier. J’espère que vous les reconnaîtrez et que cela vous apportera un peu de l’immense soulagement que j’ai ressenti jeudi : celui de se libérer d’une partie de ce poids insoutenable en le partageant au reste du monde. Merci encore infiniment de votre confiance et de vos encouragements. Je publierai bientôt l’intégralité du texte de l’intervention, que j’ai dû un peu écourter à l’oral pour laisser à mes camarades un temps de parole égal pour toutes. Je tiens à préciser, après avoir lu des commentaires affligeants d’ignorance sur les réseaux sociaux, que non seulement nous avons chacune pu dire ce que nous voulions sans que nos textes ne nous soient demandés à l’avance, mais qu’en prime nous avons été encouragées à être très, très sincères. J’en profite pour dire qu’il me semble que la meilleure façon de contester, quand on n’est pas d’accord, c’est de créer des actions positives en faveur de ce qu’on veut voir naître, et que la meilleure façon d’œuvrer pour la paix, le vivre ensemble et l’égalité hommes-femmes, c’est de commencer par respecter tous les individus, d’où qu’ils viennent, quel que soit leur sexe, leur statut social, le montant de leur compte en banque ou leur fonction. Non ? @Saint-Denis, Ile-De-France, France

9 Mars 2019

https://www.instagram.com/p/Buy29K-lZSn/

Bouleversée par cette Une de Libé.
Que ce sujet fasse enfin la Une, d’abord.
Du titre, tellement juste, qui décrit ce qui est devenu un phénomène de société, pour ne pas dire un sport national.
Et puis touchée en plein cœur par les témoignages dans l’article, tellement similaires à ce que je vis, à ce que vivent les femmes qui m’entourent. 
Maman solo depuis bientôt 6 ans, voilà 2 ans que j’élève ma fille sans la moindre contribution financière de son père.
Pour celles et ceux qui me suivent depuis longtemps, ça s’est arrêté au terrible moment de la mort de ma mère, durant les 7 mois où @coworkcreche, alors très en difficulté, ne pouvait plus me payer. Je me demande encore souvent comment j’ai survécu à cette période.
On devrait faire un #MeToo des impayés de pensions alimentaires, finalement, car dès que j’ai évoqué ce sujet sur mes réseaux restreints, j’ai assisté à une levée de boucliers immédiate publique de certains hommes d’un côté - eux-mêmes mauvais payeurs, ou solidaires de ceux-ci ? - et, en parallèle, à un flot de messages privés de femmes me racontant la même histoire que la mienne.
Pourquoi devrais-je être celle qui se tait, celle qui a honte ?
Honte d’assumer seule l’éducation de ma fille ?
Honte de surmonter la rage, le sentiment d’injustice, d’inégalité profonde, pour trouver la force de ne pas laisser cet événement altérer la relation de ma fille et son père ?
Quel message envoie-t-on, lorsqu’on n’investit pas financièrement l’éducation de son enfant ?
À quel point faut-il être déconnecté des réalités, pour croire que si on verse 100, 200, 300 euros au coparent qui élève à temps plein notre propre enfant quand on refuse soi-même ne serait-ce qu’une garde partagée, il ou elle s’en servira pour partir aux Bahamas ?
Comment est-il possible qu’en 2019, le coparent qui a la garde principale, une femme dans 85 % des cas, ait tous les devoirs quand l’autre a tous les droits, y compris de ne plus subvenir aux besoins de son enfant en toute impunité, puisqu’il faut un temps, une énergie et un argent que les familles monoparentales n’ont pas pour obtenir gain de cause, quand le parent défaillant n’est pas allé jusqu’à organiser (suite en commentaire)

Bouleversée par cette Une de Libé. Que ce sujet fasse enfin la Une, d’abord. Du titre, tellement juste, qui décrit ce qui est devenu un phénomène de société, pour ne pas dire un sport national. Et puis touchée en plein cœur par les témoignages dans l’article, tellement similaires à ce que je vis, à ce que vivent les femmes qui m’entourent. Maman solo depuis bientôt 6 ans, voilà 2 ans que j’élève ma fille sans la moindre contribution financière de son père. Pour celles et ceux qui me suivent depuis longtemps, ça s’est arrêté au terrible moment de la mort de ma mère, durant les 7 mois où @coworkcreche, alors très en difficulté, ne pouvait plus me payer. Je me demande encore souvent comment j’ai survécu à cette période. On devrait faire un #MeToo des impayés de pensions alimentaires, finalement, car dès que j’ai évoqué ce sujet sur mes réseaux restreints, j’ai assisté à une levée de boucliers immédiate publique de certains hommes d’un côté - eux-mêmes mauvais payeurs, ou solidaires de ceux-ci ? - et, en parallèle, à un flot de messages privés de femmes me racontant la même histoire que la mienne. Pourquoi devrais-je être celle qui se tait, celle qui a honte ? Honte d’assumer seule l’éducation de ma fille ? Honte de surmonter la rage, le sentiment d’injustice, d’inégalité profonde, pour trouver la force de ne pas laisser cet événement altérer la relation de ma fille et son père ? Quel message envoie-t-on, lorsqu’on n’investit pas financièrement l’éducation de son enfant ? À quel point faut-il être déconnecté des réalités, pour croire que si on verse 100, 200, 300 euros au coparent qui élève à temps plein notre propre enfant quand on refuse soi-même ne serait-ce qu’une garde partagée, il ou elle s’en servira pour partir aux Bahamas ? Comment est-il possible qu’en 2019, le coparent qui a la garde principale, une femme dans 85 % des cas, ait tous les devoirs quand l’autre a tous les droits, y compris de ne plus subvenir aux besoins de son enfant en toute impunité, puisqu’il faut un temps, une énergie et un argent que les familles monoparentales n’ont pas pour obtenir gain de cause, quand le parent défaillant n’est pas allé jusqu’à organiser (suite en commentaire)

6 Mars 2019

https://www.instagram.com/p/BuqtSJXljYw/

Jeudi, j’aurai l’immense honneur de représenter les mères isolées sur scène devant des élus, des institutionnels, des entreprises, des banquiers, venus les écouter : une fois n’est pas coutume.
J’ai mille choses à dire, évidemment, de ces années, les plus difficiles de toute ma vie, à un point que je n’aurais pas soupçonné, et sans doute aussi les plus belles, étrangement.
Et pourtant, malgré les moments dramatiques, j’ai conscience de ne pas être dans les plus à plaindre.
Loin de là.
Je suis tombée souvent, mais on m’a toujours aidée à me relever, même quand je me croyais seule au monde.
J’en garde néanmoins des colères, de profondes indignations, un constat d’inégalité et d’injustice. 
Jeudi il y aura ma parole, bien sûr, mais aussi la vôtre. 
En quelques mots, en quelques lignes, quel message aimeriez-vous faire passer à ces différents représentants ?
Quelle histoire aimeriez-vous leur raconter par mon biais ?
Quelles sont / ont été vos plus grandes difficultés dans cette épreuve ?
Vos plus grands soulagements ?
J’espère vos participations enthousiastes et nombreuses, pour cette importante et rare occasion qui nous est donnée de faire entendre notre voix.
N’hésitez pas à partager cette publication aux mères isolées de votre entourage, mais également aux pères qui élèvent seuls leurs enfants à temps plein : s’ils sont beaucoup moins nombreux, leur voix compte également.
Ayant eu quelques commentaires insultants et/ou agressifs ces derniers temps, en particulier en travaillant autour de ces sujets, je précise qu’ils seront tous supprimés et/ou bloqués, ce qui a semblé surprendre les derniers à s’y être frottés.
Vous pouvez tout exprimer ici, y compris bien entendu des convictions opposées aux miennes, tant que c’est bienveillant, respectueux et constructif.
Je ne suis tout simplement pas intéressée par le reste, encore moins dans le cadre d’une cause que je défends bénévolement et du fin fond de mes tripes.
À vos claviers !

Jeudi, j’aurai l’immense honneur de représenter les mères isolées sur scène devant des élus, des institutionnels, des entreprises, des banquiers, venus les écouter : une fois n’est pas coutume. J’ai mille choses à dire, évidemment, de ces années, les plus difficiles de toute ma vie, à un point que je n’aurais pas soupçonné, et sans doute aussi les plus belles, étrangement. Et pourtant, malgré les moments dramatiques, j’ai conscience de ne pas être dans les plus à plaindre. Loin de là. Je suis tombée souvent, mais on m’a toujours aidée à me relever, même quand je me croyais seule au monde. J’en garde néanmoins des colères, de profondes indignations, un constat d’inégalité et d’injustice. Jeudi il y aura ma parole, bien sûr, mais aussi la vôtre. En quelques mots, en quelques lignes, quel message aimeriez-vous faire passer à ces différents représentants ? Quelle histoire aimeriez-vous leur raconter par mon biais ? Quelles sont / ont été vos plus grandes difficultés dans cette épreuve ? Vos plus grands soulagements ? J’espère vos participations enthousiastes et nombreuses, pour cette importante et rare occasion qui nous est donnée de faire entendre notre voix. N’hésitez pas à partager cette publication aux mères isolées de votre entourage, mais également aux pères qui élèvent seuls leurs enfants à temps plein : s’ils sont beaucoup moins nombreux, leur voix compte également. Ayant eu quelques commentaires insultants et/ou agressifs ces derniers temps, en particulier en travaillant autour de ces sujets, je précise qu’ils seront tous supprimés et/ou bloqués, ce qui a semblé surprendre les derniers à s’y être frottés. Vous pouvez tout exprimer ici, y compris bien entendu des convictions opposées aux miennes, tant que c’est bienveillant, respectueux et constructif. Je ne suis tout simplement pas intéressée par le reste, encore moins dans le cadre d’une cause que je défends bénévolement et du fin fond de mes tripes. À vos claviers !

5 Mars 2019

https://www.instagram.com/p/Bun4e4mlO42/

Ah Paris.
Cher amour.
Amour hors de prix.
Cette semaine c’est toi et moi presque en tête à tête.
Ni môme ni animaux ni mec ni personne.
Quelques parisiens, bien sûr.
Beaucoup d’écrits, un livre bouclé dans un bouquet d’heures et quelques-uns des potes les plus proches.
Un peu de temps juste pour moi sans nourrir une smala.
C’est doux et tu sais quoi ?
C’est assez.
J’ai aimé ces quelques jours dans tes bras, ils m’ont suffit à revoir le voile se lever sur tout ce que j’ai voulu quitter.
Je te connais par coeur et pourtant tu n’es tellement plus chez moi.
Quelle étrange sensation.
C’est fou comme il suffit de décider où est notre chez nous pour qu’il le devienne.
Je te dis à bientôt, puisque tu sembles t’appliquer à me faire revenir souvent dans tes bras, en attendant je serai lovée dans ceux de mon sweet home bordelais, celui qui m’a offert tout ce que tu ne pouvais pas me donner.
.
.
.
.
.
#SlowLife #NewLife #Paris #QuitterParis @Paris, France

Ah Paris. Cher amour. Amour hors de prix. Cette semaine c’est toi et moi presque en tête à tête. Ni môme ni animaux ni mec ni personne. Quelques parisiens, bien sûr. Beaucoup d’écrits, un livre bouclé dans un bouquet d’heures et quelques-uns des potes les plus proches. Un peu de temps juste pour moi sans nourrir une smala. C’est doux et tu sais quoi ? C’est assez. J’ai aimé ces quelques jours dans tes bras, ils m’ont suffit à revoir le voile se lever sur tout ce que j’ai voulu quitter. Je te connais par coeur et pourtant tu n’es tellement plus chez moi. Quelle étrange sensation. C’est fou comme il suffit de décider où est notre chez nous pour qu’il le devienne. Je te dis à bientôt, puisque tu sembles t’appliquer à me faire revenir souvent dans tes bras, en attendant je serai lovée dans ceux de mon sweet home bordelais, celui qui m’a offert tout ce que tu ne pouvais pas me donner. . . . . . #SlowLife #NewLife #Paris #QuitterParis @Paris, France

28 Février 2019

https://www.instagram.com/p/BubL1T5Fg44/

Aujourd’hui, nous allons travailler sur un éventail de lois en faveur de l’égalité entre les femmes et les hommes, puis les proposer dans l’année au niveau international.
Si vous avez des idées, des suggestions, pour la France et/ou d’autres pays, des envies de dire, n’hésitez pas, c’est en dessous ou en DM, tout est bon à dire tant que c’est avec respect, précision et bienveillance.
.
.
.
.
.
#G7 #Equality #GenderEquality #Biarritz2019 @Élysée – Présidence de la République française

Aujourd’hui, nous allons travailler sur un éventail de lois en faveur de l’égalité entre les femmes et les hommes, puis les proposer dans l’année au niveau international. Si vous avez des idées, des suggestions, pour la France et/ou d’autres pays, des envies de dire, n’hésitez pas, c’est en dessous ou en DM, tout est bon à dire tant que c’est avec respect, précision et bienveillance. . . . . . #G7 #Equality #GenderEquality #Biarritz2019 @Élysée – Présidence de la République française

19 Février 2019

https://www.instagram.com/p/BuDw_UiFYCL/

Heureuse, enthousiaste & fière de faire partie des membres du Conseil consultatif pour l’égalité femmes hommes du #G7 #France 2019 aux côtés de @marleneschiappa, 
Alice Albright, @lisazuelos, Bochra Belhaj Hamida, @assia_travel , Wided Bouchamaoui, Mercedes Erra, @emmawatson, @Caroline_fourest, Gargee Ghosh, Brigitte Grésy, Yoko Hayashi, moi-même Muriel Ighmouracène, Katja Iverszn, Rula Jebreal, @aranyajohar, Michael Kaufman, Vincent Klassen, Aissata Lam, Jamie Mc Court, Virginie Morgon, Vanessa Moungar, Denis Mukwege, Nadia Murad, Irene Natividad, Alexandra Palt, Asa Regner, Kareen Rispal, Inna Shevchenko, Gregoire Thery, Angelique Kidjo, Marie Cervetti, Melanie Kreis, Natalia Ponce de Leon, Phumzile Mlambo.

Une belle opportunité de faire un grand pas de plus à l’échelle internationale pour cette cause qui m’est si chère.

Heureuse, enthousiaste & fière de faire partie des membres du Conseil consultatif pour l’égalité femmes hommes du #G7 #France 2019 aux côtés de @marleneschiappa, Alice Albright, @lisazuelos, Bochra Belhaj Hamida, @assia_travel , Wided Bouchamaoui, Mercedes Erra, @emmawatson, @Caroline_fourest, Gargee Ghosh, Brigitte Grésy, Yoko Hayashi, moi-même Muriel Ighmouracène, Katja Iverszn, Rula Jebreal, @aranyajohar, Michael Kaufman, Vincent Klassen, Aissata Lam, Jamie Mc Court, Virginie Morgon, Vanessa Moungar, Denis Mukwege, Nadia Murad, Irene Natividad, Alexandra Palt, Asa Regner, Kareen Rispal, Inna Shevchenko, Gregoire Thery, Angelique Kidjo, Marie Cervetti, Melanie Kreis, Natalia Ponce de Leon, Phumzile Mlambo. Une belle opportunité de faire un grand pas de plus à l’échelle internationale pour cette cause qui m’est si chère.

18 Février 2019

https://www.instagram.com/p/BuClKxxlfVJ/

Il en aura fallu 7.
Enfin, 6 trois quart, le point final du 7ème n’ayant pas encore été posé.
Presque.
Dans quelques jours, enfin.
Mes écrits publiés en 5 langues.
8 ans d’une partie de mes lignes.
L’histoire commencée en 2010, 2 jours après mon accouchement, par Mathilde, cette éditrice de Larousse qui m’a envoyé un mail que je relis parfois, pour me proposer mon 1er contrat d’auteur.e, après avoir passé 2 jours à lire mon blog. 
Deux cadeaux fous en l’espace de 48 heures.
Mon 1er livre, écrit avec un bébé de 2 mois vissé au sein. 
Et puis la suite.
Il aura fallu tout cela pour qu’un jour, enfin, j’admette qu’écrire n’est pas juste un petit satellite dans ma vie, un truc en plus autour du reste.
Syndrome de l’imposteur ? Croyance erronée qu’on ne peut pas trouver son ikigaï, et vivre de ce que l’on aime ? Que le travail doit forcément être dur, pénible pour qu’on mérite sa rémunération ?
Que se reconnaître un certain talent, c’est péter plus haut que son cul, quel que soit le volume de ce dernier ?
(Conséquent en ce qui me concerne, le Sud-Ouest me donne plus d’assise.)
Il m’aura fallu tout ça pour qu’enfin, quand on me demande ce que je fais, je réponde que je suis auteur. 
Ou auteure. 
Ça dépend des jours, mais la nuance pas si subtile ne s’entend pas.
Il m’aura fallu tout ça et des heures de souffrances à procrastiner devant mes manuscrits avant de m’autoriser à penser et à dire que c’est ma moelle, mon essence, ma raison de vivre peut-être.
Sûrement. 
Avant de chasser la peur de réussir, plus puissante chez moi sans doute que la peur d’échouer.
Parce qu’en vrai, quand on essaie, c’est jamais perdu.
Merci @virginiegrimaldi qui m’inspire bien plus qu’elle ne l’imagine.
Merci @marjoliemaman de m’avoir incitée à faire cette photo - prise par l’amoureux, lâchement exploité par mes soins comme Instagram boyfriend, mais il aime ça - qui m’a fait réaliser tout le chemin parcouru, et m’a donné une vision plus claire encore de la prochaine route à prendre. 
Merci à vous qui m’encouragez ici.
Mieux vaut tard que jamais, mais mieux vaut aujourd’hui que demain.
Et vous, c’est pour quand ?
.
.
.
.
.
#Auteur #Auteure #Écrivain #Écrivaine #Larousse #Eyrolles #Ikigaï

Il en aura fallu 7. Enfin, 6 trois quart, le point final du 7ème n’ayant pas encore été posé. Presque. Dans quelques jours, enfin. Mes écrits publiés en 5 langues. 8 ans d’une partie de mes lignes. L’histoire commencée en 2010, 2 jours après mon accouchement, par Mathilde, cette éditrice de Larousse qui m’a envoyé un mail que je relis parfois, pour me proposer mon 1er contrat d’auteur.e, après avoir passé 2 jours à lire mon blog. Deux cadeaux fous en l’espace de 48 heures. Mon 1er livre, écrit avec un bébé de 2 mois vissé au sein. Et puis la suite. Il aura fallu tout cela pour qu’un jour, enfin, j’admette qu’écrire n’est pas juste un petit satellite dans ma vie, un truc en plus autour du reste. Syndrome de l’imposteur ? Croyance erronée qu’on ne peut pas trouver son ikigaï, et vivre de ce que l’on aime ? Que le travail doit forcément être dur, pénible pour qu’on mérite sa rémunération ? Que se reconnaître un certain talent, c’est péter plus haut que son cul, quel que soit le volume de ce dernier ? (Conséquent en ce qui me concerne, le Sud-Ouest me donne plus d’assise.) Il m’aura fallu tout ça pour qu’enfin, quand on me demande ce que je fais, je réponde que je suis auteur. Ou auteure. Ça dépend des jours, mais la nuance pas si subtile ne s’entend pas. Il m’aura fallu tout ça et des heures de souffrances à procrastiner devant mes manuscrits avant de m’autoriser à penser et à dire que c’est ma moelle, mon essence, ma raison de vivre peut-être. Sûrement. Avant de chasser la peur de réussir, plus puissante chez moi sans doute que la peur d’échouer. Parce qu’en vrai, quand on essaie, c’est jamais perdu. Merci @virginiegrimaldi qui m’inspire bien plus qu’elle ne l’imagine. Merci @marjoliemaman de m’avoir incitée à faire cette photo - prise par l’amoureux, lâchement exploité par mes soins comme Instagram boyfriend, mais il aime ça - qui m’a fait réaliser tout le chemin parcouru, et m’a donné une vision plus claire encore de la prochaine route à prendre. Merci à vous qui m’encouragez ici. Mieux vaut tard que jamais, mais mieux vaut aujourd’hui que demain. Et vous, c’est pour quand ? . . . . . #Auteur #Auteure #Écrivain #Écrivaine #Larousse #Eyrolles #Ikigaï

16 Février 2019

https://www.instagram.com/p/Bt75O71FhSw/

<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 20 30 40 50 60 70 80 90 100 > >>