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Mais Pourquoi Je Deviens Mère Bordel ??!

42 ans.
L’âge auquel tu deviens ENFIN un.e adulte, de toute évidence. .
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#QuitterParis #NewLife #SlowLife #Bordeaux #BordeauxMaVille #LaMaturité #Unicorn #UnicornPower

42 ans. L’âge auquel tu deviens ENFIN un.e adulte, de toute évidence. . . . . . #QuitterParis #NewLife #SlowLife #Bordeaux #BordeauxMaVille #LaMaturité #Unicorn #UnicornPower

12 Février 2019

https://www.instagram.com/p/Btx7IMkFvqS/

Tu as beau t’être un peu élevé.e spirituellement, parfois, tu retombes tête la première dans la colère, la rage, dans le ressentiment, dans un chagrin profond qui vient d’un gouffre sans fond dont la localisation exacte t’échappe.

Sauf que tu as appris à accueillir ces instants plus sombres.
Pas de lumière sans ombre.
Que tu as appris à les transformer.

Et souvent, sans que tu le saches, tandis que tu es occupé.e à te battre contre tes démons personnels, tandis que tu lâches prise intérieurement et que tu fais un nouveau pas de géant, jusqu’à la lutte d’après, la vie travaille doucement, en silence à ton prochain immense cadeau.

Te l’offre sur un plateau d’argent à la sortie du ring. (Et non, c’est pas un chaton, merci bien, cette maison est full). Pour te rappeler que la droiture, l’engagement, la loyauté, la combativité et l’amour donnent naissance à des graines de compétition, dont les fruits poussent tout d’un coup, surtout quand tu en doutes.

Gratitude infinie, même pour ce €&?% de chaton qui a transformé mon nouveau fauteuil en panier à chat.

Tu as beau t’être un peu élevé.e spirituellement, parfois, tu retombes tête la première dans la colère, la rage, dans le ressentiment, dans un chagrin profond qui vient d’un gouffre sans fond dont la localisation exacte t’échappe. Sauf que tu as appris à accueillir ces instants plus sombres. Pas de lumière sans ombre. Que tu as appris à les transformer. Et souvent, sans que tu le saches, tandis que tu es occupé.e à te battre contre tes démons personnels, tandis que tu lâches prise intérieurement et que tu fais un nouveau pas de géant, jusqu’à la lutte d’après, la vie travaille doucement, en silence à ton prochain immense cadeau. Te l’offre sur un plateau d’argent à la sortie du ring. (Et non, c’est pas un chaton, merci bien, cette maison est full). Pour te rappeler que la droiture, l’engagement, la loyauté, la combativité et l’amour donnent naissance à des graines de compétition, dont les fruits poussent tout d’un coup, surtout quand tu en doutes. Gratitude infinie, même pour ce €&?% de chaton qui a transformé mon nouveau fauteuil en panier à chat.

6 Février 2019

https://www.instagram.com/p/BtirRqRld4f/

Note à moi-même :
Songer à faire une petite mise au point avec l’enfant quant à l’intérêt d’utiliser une Dymo.
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#NewLife #QuitterParis #Bordeaux #Mérignac #BordeauxMaVille #CUB #SlowLife #Golden #GoldenRetriever #Olaf #CrèmeDeChien @Mérignac, Aquitaine, France

Note à moi-même : Songer à faire une petite mise au point avec l’enfant quant à l’intérêt d’utiliser une Dymo. . . . . . #NewLife #QuitterParis #Bordeaux #Mérignac #BordeauxMaVille #CUB #SlowLife #Golden #GoldenRetriever #Olaf #CrèmeDeChien @Mérignac, Aquitaine, France

2 Février 2019

https://www.instagram.com/p/BtYuvfUlmeB/

Je ne me souviens pas vraiment depuis quand on ne m’a pas regardée avec ces yeux-là.
D’ailleurs, histoire de ne pas (re)briser quelques cœurs, je vais m’abstenir d’émettre quelque hypothèse de date que ce soit.
Oui, pardon, je suis inoubliable.
Mon humilité, sans doute.
Il me fait rire, ce mug « Vivement la fin du monde », avec son explosion nucléaire.
Alors j’ai voulu qu’il me prenne en photo avec pour faire un petit post à base de « mood of the day ».
Parce que c’était un de ces jours un peu merdiques, tu sais ?
Un de ceux où tu découvres une nouvelle voisine que tu mettrais bien en orbite autour du soleil.
Un de ceux où tu tentes vainement d’expliquer comment tu vois le sommet de la montagne à une taupe qui est sensée t’aider à la gravir.
Et puis quand j’ai vu la photo, c’était tellement pas raccord.
Trop de bonheur dessus.
Tellement de love, dessus.
Ça fait pas tout bien sûr, mais quand on a quelqu’un tout près pour nous regarder avec ces yeux-là, bah on se dit que si on pouvait attendre encore 5 minutes avant la fin du monde, ce serait quand même pas dégueulasse, et qu’on peut bien encore encaisser un peu les taupes et les voisines qu’on peut pas encadrer.
♥️
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#Bordeaux #BordeauxMaVille #Love #NewLife #QuitterParis

Je ne me souviens pas vraiment depuis quand on ne m’a pas regardée avec ces yeux-là. D’ailleurs, histoire de ne pas (re)briser quelques cœurs, je vais m’abstenir d’émettre quelque hypothèse de date que ce soit. Oui, pardon, je suis inoubliable. Mon humilité, sans doute. Il me fait rire, ce mug « Vivement la fin du monde », avec son explosion nucléaire. Alors j’ai voulu qu’il me prenne en photo avec pour faire un petit post à base de « mood of the day ». Parce que c’était un de ces jours un peu merdiques, tu sais ? Un de ceux où tu découvres une nouvelle voisine que tu mettrais bien en orbite autour du soleil. Un de ceux où tu tentes vainement d’expliquer comment tu vois le sommet de la montagne à une taupe qui est sensée t’aider à la gravir. Et puis quand j’ai vu la photo, c’était tellement pas raccord. Trop de bonheur dessus. Tellement de love, dessus. Ça fait pas tout bien sûr, mais quand on a quelqu’un tout près pour nous regarder avec ces yeux-là, bah on se dit que si on pouvait attendre encore 5 minutes avant la fin du monde, ce serait quand même pas dégueulasse, et qu’on peut bien encore encaisser un peu les taupes et les voisines qu’on peut pas encadrer. ♥️ . . . . . #Bordeaux #BordeauxMaVille #Love #NewLife #QuitterParis

31 Janvier 2019

https://www.instagram.com/p/BtT11Z9FCX4/

Voilà deux ans maintenant que j'essaye de me souvenir de l'heure exacte à laquelle sa poitrine s'est abaissée lentement pour la dernière fois. 
Il y a une heure écrite quelque part sur les papiers qui disent qu'on n'est plus d'ici, mais ce n'est pas la bonne.

C'est l'heure à laquelle je suis allée dire au monde qu'elle n'était plus là, bien après, après avoir hurlé, après avoir pleuré, après m'être allongée contre elle, ultime, vaine et pathétique tentative de capturer la chaleur de son corps avec la mienne.

L'heure que je cherche et dont je ne parviens pas à me souvenir, c'est l'heure à laquelle je caressais doucement son front, dans cette chambre où je n'en pouvais plus de la voir souffrir et lutter.

L'heure à laquelle je lui ai dit c'est bon maman, je suis prête, va.
L'étais-je ? 
Sûrement pas. 
J'étais prête à la laisser partir pour ne plus la voir avoir mal.
Pour ne pas la retenir malgré elle.
L'heure à laquelle elle a expiré dans l'instant pour de bon.
Sol béant. Abîme. Gouffre. 
Mais on s'en fout de l'heure n'est-ce pas ? 
Parce qu'il vaut mieux regarder le visage de sa mère qui nous dit au revoir que sa montre.
Beaucoup plus à propos, définitivement.

Comme l'année dernière, mon corps semble avoir vécu à nouveau toute la semaine ces 8 jours trop courts et trop longs.
Miroir.
Ces 8 jours où j'ai eu la chance folle d'accompagner ma mère jour et nuit, comme elle m'a accompagnée pendant si longtemps.
Boucle bouclée.
Juste retour des choses.

Propulsée à la tête de la lignée des femmes de chez moi.
Quelle promotion !
Qui ne refuse pas.
Dont on voudrait hériter le plus tard possible.

Deux ans après je ne souffre pas de son absence, rarement.
Je porte sa vie en moi.
Je ne saurais l'expliquer.
Elle est ma passagère.
Parfois je voudrais un instant nicher mon nez dans son cou et l'entendre rire.
Un peu comme la fugace envie de cigarette de l'ex fumeur, qui passe après une gorgée d'eau.
Parfois je pleure, un peu, ou fort, d'un coup, comme un trop plein, comme un besoin de remise à zéro.
Quand je m'y attends le moins.

Je n'ai plus peur de rien.

Ni de perdre qui que ce soit, encore moins quoique ce soit, ni de mourir.

Quels cadeaux. (Suite en commentaire)

Voilà deux ans maintenant que j'essaye de me souvenir de l'heure exacte à laquelle sa poitrine s'est abaissée lentement pour la dernière fois. Il y a une heure écrite quelque part sur les papiers qui disent qu'on n'est plus d'ici, mais ce n'est pas la bonne. C'est l'heure à laquelle je suis allée dire au monde qu'elle n'était plus là, bien après, après avoir hurlé, après avoir pleuré, après m'être allongée contre elle, ultime, vaine et pathétique tentative de capturer la chaleur de son corps avec la mienne. L'heure que je cherche et dont je ne parviens pas à me souvenir, c'est l'heure à laquelle je caressais doucement son front, dans cette chambre où je n'en pouvais plus de la voir souffrir et lutter. L'heure à laquelle je lui ai dit c'est bon maman, je suis prête, va. L'étais-je ? Sûrement pas. J'étais prête à la laisser partir pour ne plus la voir avoir mal. Pour ne pas la retenir malgré elle. L'heure à laquelle elle a expiré dans l'instant pour de bon. Sol béant. Abîme. Gouffre. Mais on s'en fout de l'heure n'est-ce pas ? Parce qu'il vaut mieux regarder le visage de sa mère qui nous dit au revoir que sa montre. Beaucoup plus à propos, définitivement. Comme l'année dernière, mon corps semble avoir vécu à nouveau toute la semaine ces 8 jours trop courts et trop longs. Miroir. Ces 8 jours où j'ai eu la chance folle d'accompagner ma mère jour et nuit, comme elle m'a accompagnée pendant si longtemps. Boucle bouclée. Juste retour des choses. Propulsée à la tête de la lignée des femmes de chez moi. Quelle promotion ! Qui ne refuse pas. Dont on voudrait hériter le plus tard possible. Deux ans après je ne souffre pas de son absence, rarement. Je porte sa vie en moi. Je ne saurais l'expliquer. Elle est ma passagère. Parfois je voudrais un instant nicher mon nez dans son cou et l'entendre rire. Un peu comme la fugace envie de cigarette de l'ex fumeur, qui passe après une gorgée d'eau. Parfois je pleure, un peu, ou fort, d'un coup, comme un trop plein, comme un besoin de remise à zéro. Quand je m'y attends le moins. Je n'ai plus peur de rien. Ni de perdre qui que ce soit, encore moins quoique ce soit, ni de mourir. Quels cadeaux. (Suite en commentaire)

24 Janvier 2019

https://www.instagram.com/p/BtA_2zKFxyO/

À peine reçu et déjà au mur !
Oui les gars je suis déjà en juin, c’est parce que j’ai toujours un temps d’avance, et pour avoir sous les yeux mes Landes d’amour d’adoption.
Merci @marcel_travelposters, tellement happy d’avoir gagné quelques-unes de vos sublimes images avec ce calendrier 2019 !
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#NewLife #SlowLife #Bordeaux #BordeauxMaVille #Landes #SudOuest #TravelPoster #MarcelTravelPosters #WestCoast #Aquitaine #NouvelleAquitaine #Calendrier2019 @Bordeaux, France

À peine reçu et déjà au mur ! Oui les gars je suis déjà en juin, c’est parce que j’ai toujours un temps d’avance, et pour avoir sous les yeux mes Landes d’amour d’adoption. Merci @marcel_travelposters, tellement happy d’avoir gagné quelques-unes de vos sublimes images avec ce calendrier 2019 ! . . . . . #NewLife #SlowLife #Bordeaux #BordeauxMaVille #Landes #SudOuest #TravelPoster #MarcelTravelPosters #WestCoast #Aquitaine #NouvelleAquitaine #Calendrier2019 @Bordeaux, France

15 Janvier 2019

https://www.instagram.com/p/BsqDz9RFlS3/

❄️ Les hivers de maintenant > les hivers d’avant. ❄️
Happy new year les gars !
Puissiez-vous bouffer du sable par poignées si ça vous chante, et vous extasier bouche bée devant l’époustouflante beauté d’un coucher de soleil sur l’océan, ou sur n’importe quoi d’autre, d’ailleurs.
M’enfin on va pas se mentir, sur l’océan, ça déchire quand même tranquillement.
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#NewLife #SlowLife #QuitterParis #Bordeaux #BordeauxMaVille #Aquitaine #NouvelleAquitaine #Lacanau #LacanauOcean #NoFilter #Skyporn #Sunset #SunsetLovers #Surf #Surfer #Golden #GoldenRetriever @Lacanau-Océan, Aquitaine, France

❄️ Les hivers de maintenant > les hivers d’avant. ❄️ Happy new year les gars ! Puissiez-vous bouffer du sable par poignées si ça vous chante, et vous extasier bouche bée devant l’époustouflante beauté d’un coucher de soleil sur l’océan, ou sur n’importe quoi d’autre, d’ailleurs. M’enfin on va pas se mentir, sur l’océan, ça déchire quand même tranquillement. . . . . . #NewLife #SlowLife #QuitterParis #Bordeaux #BordeauxMaVille #Aquitaine #NouvelleAquitaine #Lacanau #LacanauOcean #NoFilter #Skyporn #Sunset #SunsetLovers #Surf #Surfer #Golden #GoldenRetriever @Lacanau-Océan, Aquitaine, France

5 Janvier 2019

https://www.instagram.com/p/BsRQiQSFzXk/

Mon best nine à moi il tient en une seule image.
Celle qui illustre ce pas de géant fait avec nos bottes de 7 lieues pour inventer une autre vie loin du gris.
Celle de ce ciel qui n’a besoin d’aucun filtre.
Celle de cette enfant enfin à sa place qui grandit et s’épanouit à vue d’œil.
Dresseuse de chien.
Hypnotiseuse de chat.
Ensorceleuse de mum.
L’année dernière à cette époque j’hibernais ensevelie sous des tonnes de sucre, de gras et de plaids, en deuil de mère, en deuil de @coworkcreche, avec ce projet un peu fou de quitter la ville où j’ai toujours vécu.
« Mais tu es tellement parisienne ! », m’a dit alors ma très chère @alexandriane à qui je confiais ma décision de partir.
So true.
Parisienne un jour, parisienne toujours.
Mais je suis tellement bordelaise aussi.
Tellement d’ici.
Comme si j’avais découvert une autre de mes terres.
Un pan de mes origines cachées.
Comme si il y avait déjà de moi ici.
J’aime aimer Paris de loin, tout contre Bordeaux.
J’aime tisser ces liens naissants et ces autres déjà si forts, sans dénouer ceux d’avant.
En laissant se dénouer ceux qui faisaient trop de noeuds.
J’aime regarder mes grands amours par la fenêtre, sous cette lumière qui fait chavirer mon cœur.
Les humains et les autres.
Merci 2018 pour les cadeaux en cascade après les drames déchirants de 2017.
Merci aussi pour les cadeaux qui ressemblaient drôlement à des épreuves.
Merci pour cette sérénité profonde et cette résilience puissante pour lesquelles je me sens tellement reconnaissante.
Que c’est doux de n’avoir plus peur de rien, et d’être prête à tout accueillir. 
Pour 2019, je nous souhaite une accalmie durable, une abondance de créativité, et encore beaucoup d’amour dans cette maison qui en déborde déjà bien plus que je ne l’aurais jamais imaginé.
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#BestNine #BestNine2018 #Best9 #Goodbye2018 #QuitterParis #Bordeaux #BordeauxMaVille #NewLife #SlowLife #SlowLifestyle

Mon best nine à moi il tient en une seule image. Celle qui illustre ce pas de géant fait avec nos bottes de 7 lieues pour inventer une autre vie loin du gris. Celle de ce ciel qui n’a besoin d’aucun filtre. Celle de cette enfant enfin à sa place qui grandit et s’épanouit à vue d’œil. Dresseuse de chien. Hypnotiseuse de chat. Ensorceleuse de mum. L’année dernière à cette époque j’hibernais ensevelie sous des tonnes de sucre, de gras et de plaids, en deuil de mère, en deuil de @coworkcreche, avec ce projet un peu fou de quitter la ville où j’ai toujours vécu. « Mais tu es tellement parisienne ! », m’a dit alors ma très chère @alexandriane à qui je confiais ma décision de partir. So true. Parisienne un jour, parisienne toujours. Mais je suis tellement bordelaise aussi. Tellement d’ici. Comme si j’avais découvert une autre de mes terres. Un pan de mes origines cachées. Comme si il y avait déjà de moi ici. J’aime aimer Paris de loin, tout contre Bordeaux. J’aime tisser ces liens naissants et ces autres déjà si forts, sans dénouer ceux d’avant. En laissant se dénouer ceux qui faisaient trop de noeuds. J’aime regarder mes grands amours par la fenêtre, sous cette lumière qui fait chavirer mon cœur. Les humains et les autres. Merci 2018 pour les cadeaux en cascade après les drames déchirants de 2017. Merci aussi pour les cadeaux qui ressemblaient drôlement à des épreuves. Merci pour cette sérénité profonde et cette résilience puissante pour lesquelles je me sens tellement reconnaissante. Que c’est doux de n’avoir plus peur de rien, et d’être prête à tout accueillir. Pour 2019, je nous souhaite une accalmie durable, une abondance de créativité, et encore beaucoup d’amour dans cette maison qui en déborde déjà bien plus que je ne l’aurais jamais imaginé. . . . . . #BestNine #BestNine2018 #Best9 #Goodbye2018 #QuitterParis #Bordeaux #BordeauxMaVille #NewLife #SlowLife #SlowLifestyle

28 Décembre 2018

https://www.instagram.com/p/Br70jCIF7vo/

Ce n’est pas souvent que je transperce la bulle de mots et d’images d’ici avec l’aiguille acérée de la réalité.
Et pourtant.
J’ai pris conscience il y a quelques mois de l’état d’urgence climatique extrême de la planète, et de l’imminent effondrement qui approche.
L’accepter a été douloureux, déchirant, anxiogène.
D’autant plus en me sentant tellement impuissante, comme en train de crier en plein désert, face à des gouvernements successifs indifférents à cette cause, quel que soit leur bord politique.
Alors cet appel, réunissant tellement de gens différents et semblables à la fois, certains dont je connais et admire tant les combats, porté par @oxfamfrance, @greenpeace_france, @fondationnh, @notreaffaireatous, signé par plus de 600 000 citoyens en moins de 24h :
Quelle beauté, quel espoir fou.
Soyons des millions à le signer.
Allez sur www.laffairedusiecle.net, ou cliquez sur le lien dans ma bio.
Signez, relayez, partagez cet appel puissant et inédit.
#LAffaireDuSiècle

Ce n’est pas souvent que je transperce la bulle de mots et d’images d’ici avec l’aiguille acérée de la réalité. Et pourtant. J’ai pris conscience il y a quelques mois de l’état d’urgence climatique extrême de la planète, et de l’imminent effondrement qui approche. L’accepter a été douloureux, déchirant, anxiogène. D’autant plus en me sentant tellement impuissante, comme en train de crier en plein désert, face à des gouvernements successifs indifférents à cette cause, quel que soit leur bord politique. Alors cet appel, réunissant tellement de gens différents et semblables à la fois, certains dont je connais et admire tant les combats, porté par @oxfamfrance, @greenpeace_france, @fondationnh, @notreaffaireatous, signé par plus de 600 000 citoyens en moins de 24h : Quelle beauté, quel espoir fou. Soyons des millions à le signer. Allez sur www.laffairedusiecle.net, ou cliquez sur le lien dans ma bio. Signez, relayez, partagez cet appel puissant et inédit. #LAffaireDuSiècle

19 Décembre 2018

https://www.instagram.com/p/BrkLCXHFgvN/

Est-ce qu’il était aussi beau, le ciel de Paris ?
Est-ce que c’était juste les immeubles trop hauts qui nous empêchaient de le voir ?
Ou est-ce qu’elle est différente, la lumière d’ici ?
Un peu des deux, sans doute.
Un peu des deux, et tellement d’autres raisons encore, qui nous font nous réjouir chaque matin du cadeau immense que nous nous sommes fait en changeant de vie.
✨✨✨
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#QuitterParis #Bordeaux #BordeauxMaVille #Mérignac #ParcDeBourran #CheminDeLEcole
#OnOurWayToSchool #Sky #Skyporn #NoFilter @Parc de Bourran

Est-ce qu’il était aussi beau, le ciel de Paris ? Est-ce que c’était juste les immeubles trop hauts qui nous empêchaient de le voir ? Ou est-ce qu’elle est différente, la lumière d’ici ? Un peu des deux, sans doute. Un peu des deux, et tellement d’autres raisons encore, qui nous font nous réjouir chaque matin du cadeau immense que nous nous sommes fait en changeant de vie. ✨✨✨ . . . . . #QuitterParis #Bordeaux #BordeauxMaVille #Mérignac #ParcDeBourran #CheminDeLEcole #OnOurWayToSchool #Sky #Skyporn #NoFilter @Parc de Bourran

18 Décembre 2018

https://www.instagram.com/p/BrhiJ3Vl750/

Ça doit faire deux mois maintenant que le buisson d’en face s’est soudain mis à miauler un jour où je rentrais tard.
Il nous a fallu un peu de temps pour comprendre d’où ça venait : la nuit était tombée, et je croyais qu’un de nos chats s’était coincé quelque part une des parties génitales qu’il n’a plus, transformant son miaulement en un nouveau, déchirant, que je n’avais jamais entendu.
« Mais non maman, c’est pas un de nos chats, c’est un chaton, t’entends pas ? ».
Oui, l’enfant sans pitié ne perd jamais une occasion de te jeter au visage tes instants de médiocrité.
UN CHATON ?!
Bordel, un chaton, quand on est mère - plus si - célibataire avec un chien et deux chats, c’est vraiment pas raisonnable.
C’est TELLEMENT PAS RAISONNABLE.
Et en même temps, foutu pour foutu, à un moment, un de plus un de moins, on n’est plus à ça près.
Alors on a cherché partout d’où il venait, ce miaulement de chaton puissant.
D’un buisson en face de chez nous, après la route.
Ce chaton nous a fait venir de 30 mètres plus loin, pour le trouver en boule, recroquevillé, mignon à faire fondre un régiment de CRS. 
Ou pas.
J’ai fait le tour des voisins et du quartier, il n’était à personne.
Alors, évidemment, il a emménagé chez nous.
C’est tellement pas raisonnable.
Deux jours après, il était vacciné et pucé.
Pendant une semaine, à chaque coup de sonnette, j’avais envie d’aller ouvrir avec une batte de baseball des fois que quelqu’un vienne le réclamer.
Personne n’est venu.
La vérité, c’est que j’avais secrètement demandé un chaton à l’univers, quelques jours auparavant.
Et que je n’aurais jamais fait la démarche d’aller en adopter un nouveau.
C’est tellement pas raisonnable.
Mais l’univers, il est vraiment pas raisonnable non plus, et quand on demande haut dans son for intérieur, il entend, et il donne.
Depuis, Cracotte défonce tranquillement le sapin après l’avoir escaladé, tend des embuscades à tous ses colocataires sans la moindre exception, procède à des attaques de chaussettes sanglantes.
Et il nous rappelle tous les jours qu’après la pluie, le beau temps.
Qu’il n’y a pas de limites à la lumière qu’on peut faire entrer chez soi, dès lors qu’on ouvre grand son cœur et ses volets.

Ça doit faire deux mois maintenant que le buisson d’en face s’est soudain mis à miauler un jour où je rentrais tard. Il nous a fallu un peu de temps pour comprendre d’où ça venait : la nuit était tombée, et je croyais qu’un de nos chats s’était coincé quelque part une des parties génitales qu’il n’a plus, transformant son miaulement en un nouveau, déchirant, que je n’avais jamais entendu. « Mais non maman, c’est pas un de nos chats, c’est un chaton, t’entends pas ? ». Oui, l’enfant sans pitié ne perd jamais une occasion de te jeter au visage tes instants de médiocrité. UN CHATON ?! Bordel, un chaton, quand on est mère - plus si - célibataire avec un chien et deux chats, c’est vraiment pas raisonnable. C’est TELLEMENT PAS RAISONNABLE. Et en même temps, foutu pour foutu, à un moment, un de plus un de moins, on n’est plus à ça près. Alors on a cherché partout d’où il venait, ce miaulement de chaton puissant. D’un buisson en face de chez nous, après la route. Ce chaton nous a fait venir de 30 mètres plus loin, pour le trouver en boule, recroquevillé, mignon à faire fondre un régiment de CRS. Ou pas. J’ai fait le tour des voisins et du quartier, il n’était à personne. Alors, évidemment, il a emménagé chez nous. C’est tellement pas raisonnable. Deux jours après, il était vacciné et pucé. Pendant une semaine, à chaque coup de sonnette, j’avais envie d’aller ouvrir avec une batte de baseball des fois que quelqu’un vienne le réclamer. Personne n’est venu. La vérité, c’est que j’avais secrètement demandé un chaton à l’univers, quelques jours auparavant. Et que je n’aurais jamais fait la démarche d’aller en adopter un nouveau. C’est tellement pas raisonnable. Mais l’univers, il est vraiment pas raisonnable non plus, et quand on demande haut dans son for intérieur, il entend, et il donne. Depuis, Cracotte défonce tranquillement le sapin après l’avoir escaladé, tend des embuscades à tous ses colocataires sans la moindre exception, procède à des attaques de chaussettes sanglantes. Et il nous rappelle tous les jours qu’après la pluie, le beau temps. Qu’il n’y a pas de limites à la lumière qu’on peut faire entrer chez soi, dès lors qu’on ouvre grand son cœur et ses volets.

16 Décembre 2018

https://www.instagram.com/p/BrdMTWxluO7/

On est seulement lundi et je lis déjà « branlette sur le comptoir ».
Sur un papier de l’école.
La semaine va être très, très longue.

On est seulement lundi et je lis déjà « branlette sur le comptoir ». Sur un papier de l’école. La semaine va être très, très longue.

10 Décembre 2018

https://www.instagram.com/p/BrN3XzWFUP2/

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