Bon, pour ceux qui suivent un peu, ce blog et/ou l'Amour est dans le Pré, on savait que pour Freddy, un de nos deux favoris, c'était pas gagné-gagné cette semaine.

D'ailleurs, le billet le concernant ici il y a deux semaines s'intitulait "Freddy, ça sent le sapin !", visiblement à raison...

Je passe brièvement sur son collègue de podium, Pascal, que l'on aperçoit dire dans un extrait "J'me demande si j'ai choisi la bonne fille...". Euh Pascal, t'as pas vraiment choisi, en fait, tu te souviens ?! C'était tout au début, j'en parlais dans "La gêne est dans le pré"...

 Bon allez je vais pas faire ma bitch et te rappeler cruellement que tu as reçu en tout et pour tout 8 lettres, dont 5 "recevables", et que sur ces 5 seules 2 des auteures se sont pointées au speed dating, tu les as donc sélectionnées, mais une des 2, ton coup de foudre, ben elle n'est juste pas venue...

Non, je ne te le rappelle pas, nous en reparlerons la semaine prochaine, quand ton tour viendra à nouveau, car pour l'instant, c'est de Freddy qu'il s'agit.

Et là, franchement, je vais avoir du mal à faire dans l'humour, tant c'est pathétique.

Mais, contrairement à ce qu'on pourrait croire, ce n'est pas Freddy qui est pathétique, mais bien Sylvie et Magalie (que je n'ai plus le coeur d'appeler Malaga...) qui se sont comportées de façon odieuse avec lui...

Freddy, il est ce qu'il est, mais il a pas menti sur la marchandise au départ.

La preuve en images avec cette vidéo.

Bon, j'avoue, y a un peu arnaque de pull, c'est la prod qui a dû lui refiler celui-là parce que c'est vrai que les siens c'est pas trop possible, mais sur le fond l'homme est le même, et sa coupe aussi, donc rien de trompeur.

Mais alors POURQUOI, mais POURQUOI ces deux grognasses sont-elles allées chez lui ?!

Lors du dernier épisode, elles promettaient une surprise à Freddy...

Chose promise chose due !

Elles le rejoignent alors qu'il prend son petit-déjeûner, s'asseyent quelques instants, le dévisagent avec un air écoeuré "On t'attend dehors, hein !"

Alors qu'elles l'attendent, elles échangent:

"Mais qu'est-ce qu'il fout encore ?"

"Bah égal à lui-même, deux de tension !"

Freddy arrive enfin, "mais moi vous savez bien que je travaille à mon rythme !"(Et tu as TELLEMENT raison Freddy, c'est une cinglée de surmenée citadine qui te le dit !).

Sylvie veut lui parler, ils sortent tous les deux.

Elle lui jette à la tronche, de bon matin, qu'elle se barre, maintenant, et que non non elle n'a pas le temps de rester coeur_brise.jpgdéjeûner à midi, "Freddy je te quitte" qu'elle dit, pour bien enfoncer le pieu qu'elle vient de lui planter dans le coeur.

Freddy est visiblement sous le choc, il prend sur lui pour le dissimuler:

"Ben, ça me fait de l'émotion quand même... Pas toi ?!"

Là j'ai le coeur qui a fait un gros noeud, j'ai envie de le prendre dans mes bras Freddy, tant pis pour sa combinaison de travail toute crade, viens-là que j'te hugue mon pauv' chou elles te méritent pas.

Il va vite retrouver sa Magalie, son coup de coeur, pour se faire remonter le moral, pour partager sa peine.

Et comme c'est tellement plus facile de cogner un homme qui a un genou à terre, la garce l'achève:

"Nan mais si Sylvie part, moi je ne vais pas rester seule, je préfère partir aussi..."

Bitch ET faux-cul... Genre son départ à elle aussi n'était pas prémédité...

Je les imagine très bien comploter toutes les deux genre "nan mais moi j'dis que je pars d'abord et après toi tu dis que tu me suis et voilà quoi !".

Freddy, il hésite entre chialer là tout se suite et s'écrouler dans le foin, ou rire bêtement, alors il alterne entre une tête de trois pieds de long et un ricanement nerveux, c'est l'horreur.

Il se concentre sur la fermeture éclair de sa combi, joue avec, l'ouvre et la ferme.

Seul face à la caméra, le visage baissé, un sanglot dans la voix réprimé par un ultime zippage/dézippage de combi, il commente leur départ, dit qu'il les comprend.

Il est pudique, mais on sent le cratère en dessous, l'abîme, et on se souvient subitement de ce que c'est que d'avoir le coeur brisé, comme si on y était.

C'est ensuite au tour de ces deux grognasses de commenter leur départ:

Elles sont odieuses. Tout ce qu'elles ont à lui reprocher, c'est d'être lui, mais lui, il les a pas sonnées à la base, c'est ELLES qui sont venues vers lui !!!

Sylivie n'a de cesse de parler de ce "personnage". Non, Sylvie, c'est une PERSONNE !!! Pas un personnage !!!

Pour nous achever, on a un bref témoignage du père de Freddy, qui se demande "'d'où qu'ça vient, de lui ou des filles ?" avec un regard triste à mourir.

Les 2 mégères reviennent dire au revoir, on les entend ricaner dans la voiture, dire "t'as vu quand on arrive chez Freddy le GPS il dit faites demi-tour, ah ah ah !!!"

La maman de Freddy leur offre un petit cadeau à chacune, lui aussi.

"J''espère qu'on se reverra, hein ??! Tu m'écriras ?"

Oui oui, elle répond, la bitch de Magalie.

Elles partent, on les entend encore rire dans la voiture, sans doute ont-elles oublié qu'elles portent un micro, leur soulagement est évident.

Freddy il reste là.

Il s'assied sur les quelques marches de son perron.

Charentaises aux pieds.

Il essaye de sourire

"Y a rien de perdu ! Il y a du soleil... Et puis, l'avenir est devant moi...!"

 

Je sais bien qu'il n'est pas drôle mon billet, et que vous devez être plusieurs à être déçus, mais franchement, c'était trop cruel de voir aussi peu d'humanité, autant de mépris, leur médiocrité a eu raison de mon humour...

Moi qui ai maintenu pendant longtemps que les femmes ne pouvaient pas jouer avec les sentiments des mecs autant que l'inverse, que j'étais dans l'erreur !!!

 

Ma petite fille, mon Amour, dans la vie, je t'apprendrais que plus on a le "pouvoir" de briser des coeurs, moins on le fait, parce que le coeur c'est la matière première la plus précieuse qui soit, et qu'il ne viendrait à l'idée de personne de jeter des lingots d'or à la mer.

On ne se donne pas plus de valeur en gâchant les richesses d'autrui, bien au contraire, c'est là qu'on est une merde (et je vous épargne de remettre la photo de l'article d'hier en illustration de mon propos, histoire de ménager les pondeuses qui n'ont pas encore passé l'horrible cap de la gerbouille quotidienne...)

 

 

 

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